Le cancer est l'une des principales maladies du XX siècle. Des cellules anormales cancéreuses se développent et, le système immunitaire ne réagissant pas à la présence de ces cellules, elles prolifèrent donc rapidement. Les êtres humains ont souvent des cellules précancéreuses dans l'organisme mais le système immunitaire, c'est-à-dire le système de défense naturelle de notre corps, les prend en charge avant qu'elles ne deviennent cancéreuses. C'est parce que ces cellules anormales se développent de façon incontrôlée (Selon les travaux du docteur Ryke Geerd Hamer, le cancer est le développement de cellules spécialisées et organisées provenant d'un programme spécial émis par le cerveau en réponse à un surstress psychologique) et incessante qu'elles peuvent nuire au fonctionnement d'un organe ou d'un tissu, pouvant ainsi affecter des parties vitales de l'organisme. Lorsque ces cellules envahissent diverses parties du corps, on parle de cancer généralisé (Dans le cas de cancer généralisé, il est souvent question de métastases, c'est-à-dire de cellules cancéreuses qui proviendraient d'autres cellules cancéreuses ailleurs dans le corps et qui auraient été transportées par le sang ou la lymphe. II semblerait qu'il existe peu ou pas d'évidence sur cette hypothèse des cellules cancéreuses se transportant d'un endroit à l'autre. II pourrait s'agir plutôt du fait que le premier cancer qui provenait d'un conflit ait amené à se manifester et à mettre en évidence un autre conflit qui lui provoque un autre cancer et ainsi de suite). Le cancer est lié principalement à des émotions refoulées, du ressentiment profond et parfois de longue date, par rapport à quelque chose ou une situation qui me perturbe encore aujourd'hui et face à laquelle je n'ai jamais osé exprimer mes sentiments profonds. Même si le cancer peut se déclarer rapidement à la suite d'un divorce difficile, d'une perte d'emploi, de la perte d'un être cher, etc., il est habituellement le résultat de plusieurs années de conflit intérieur, de culpabilité, de blessures, de peines, de rancunes, de haine, de confusion et de tension.
PROFIL EMOTIONNEL :
Je vis du désespoir, du rejet de moi. Ce qui se passe à l'extérieur de moi n'est que le reflet de ce qui se passe à l'intérieur, l'être humain étant représenté par la cellule, et le milieu de vie ou la société par les tissus. Plus souvent qu'autrement, si je suis atteint de cancer, je suis une personne aimante, dévouée, pleine d'attention et de bonté pour mon entourage, extrêmement sensible, semant amour et bonheur autour de moi. Pendant tout ce temps, mes émotions personnelles sont refoulées au plus profond de moi. Je me conforte et me leurre en trouvant satisfaction à l'extérieur plutôt qu'à l'intérieur de moi-même puisque j'ai une très faible estime de moi. Alors que je m'occupe de tout le monde, je mets de côté mes besoins personnels. Puisque la vie ne semble plus rien m'apporter, je capitule et manque d'envie de vivre. À quoi bon lutter ! Si je vis beaucoup d'émotions fortes, de haine, de culpabilité, de rejet, je vais être en très forte réaction (comme la cellule) ; je vais même me sentir responsable des problèmes et des souffrances des autres et je voudrai m'autodétruire. « ]'en veux à la vie », « elle est trop injuste ». Je joue à la « Victime » de la Vie et je deviens bientôt « Victime » du cancer. C'est habituellement la « haine » envers _quelqu'un ou une situation qui va me « gruger l'intérieur » et qui va amener les cellules à s'auto-détruire. Cette haine est profondément enfouie à l'intérieur de mon être et je n'ai pas souvent conscience qu'elle existe. Elle est enfouie derrière mon masque de « bonne personne ». Mon corps se désagrège lentement car mon âme se désagrège aussi : j'ai besoin de combler mes désirs non satisfaits au lieu de ne faire plaisir qu'aux autres. Je dois m'offrir des joies, des « petites douceurs ». j'ai accumulé ressentiment, conflits intérieurs, culpabilité, l'autorejet par rapport à moi-même parce que j'ai toujours agi en fonction des autres et non pas en fonction de ce que je veux. La patience exemplaire et présente chez moi s'accompagne très souvent d'une faible estime de soi. j'évite de me donner de l'amour et de l'appréciation car je crois que je ne le mérite pas. Ma volonté de vivre devient presque nulle. Je me sens inutile. « À quoi bon vivre ? » C'est ma façon d'en finir avec la vie. Je m'autodétruis et c'est là un suicide déguisé. j'ai l'impression d'avoir « raté » ma vie et je vois cette dernière comme un échec. La partie du corps atteinte m'éclaire quant à la nature de mon (mes) problème(s) : cela m'indique par rapport à quels schèmes mentaux ou quelles attitudes je dois adopter afin d'amener la maladie à disparaître. Je dois reprendre contact avec mon « moi » intérieur et m'accepter !• tel que je suis avec mes qualités, mes défauts, mes forces et mes faiblesses. j'accepte !• de laisser tomber de vieilles attitudes et habitudes morales. L'acceptation !. de ma maladie est essentielle pour que je puisse ensuite « lutter ». Si je refuse d'accepter !• ma maladie, comment puis-je la guérir ? J'ouvre mon cœur et je prends conscience de tout ce que la vie peut m'apporter et à quel point j'en fais partie. En recevant un traitement en guérison naturelle, en massage ou toute autre technique avec laquelle je me sens à l'aise, cela aura pour effet une harmonisation qui me permettra d'ouvrir ma conscience à toutes les merveilles de la vie et à la beauté qui m'entourent et qui renforcera ainsi mon système immunitaire.
Comments